« Mathias Richard poursuit son exploration du monde contemporain comme lieu d’asphyxie pour la vie, comme lieu concentrationnaire, qui implique des mutations tant comportementales qu’organiques des individus soumis à son emprise.
Anaérobiose est une histoire de trajets, de voyages, de déplacements, d’une vie qui recherche des lieux de respiration, pour ne pas s’amenuiser dans la réalité de la "cité sombre". »
Lire la brève complète de Philippe Boisnard :
http://www.t-pas-net.com/libr-critique/?p=1202
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire